© Photo C. Baraja – E. Touchaleaume. Archives Galerie 54, Paris.
© Photos Studio Indiano, Chandigarh. Archives Eric Touchaleaume, Paris.
Le futur site de Chandigarh. Photo de l’album « CHANDIGARH PROJECT ».
© Photos Studio Indiano, Chandigarh. Archives Eric Touchaleaume, Paris.
Le Corbusier à pied d’œuvre en jeep. FLC
© Archives Fondation Le Corbusier.
© Photos Studio Indiano, Chandigarh. Archives Eric Touchaleaume, Paris. © Archives Fondation Le Corbusier.
LC sur le futur site de Chandigarh. JM vers 1951.
© Archives Fondation Le Corbusier.
Le Corbusier avec André Malraux, ministre français de la Culture, Chandigarh 1958. FLC.
© Archives Fondation Le Corbusier.
© Photos Studio Indiano, Chandigarh. Archives Eric Touchaleaume, Paris.
Regard de canalisation en fonte moulée, orné du plan directeur de Chandigarh (LC-MU-01-B).
© Photo C. Baraja – E. Touchaleaume. Archives Galerie 54, Paris.
Giani Rattan Singh derrière la maquette du Palais du Gouverneur.
© Photos Studio Indiano, Chandigarh. Archives Eric Touchaleaume, Paris.
Panorama du site du Capitole vu du Secrétariat. .
Dessin à l’encre, deux élévations des bâtiments du Capitole. 1954.
© Archives Fondation Le Corbusier. © Photos Studio Indiano, Chandigarh. Archives Eric Touchaleaume, Paris.
La Haute Cour et le monument de la Main Ouverte, au premier plan le bassin de l’Assemblée.
© Photos E. Touchaleaume. Archives Galerie 54, Paris.
© Photo E. Touchaleaume. Archives Galerie 54, Paris. © DR.
Percées sur trois piliers contrastant les couleurs.
Grande Cour. Tapisserie de Le Corbusier dite « Tapestry for Chief Justice ». Au premier plan, fauteuils, modèle dit « Advocate or Press chair » Le Corbusier et Pierre Jeanneret (réf. LC-PJ-SI-41-A), à l’arrière-plan, banquettes. Pierre Jeanneret (réf. PJ-SI-38-B).
© Photos Studio Indiano, Chandigarh. Archives Eric Touchaleaume, Paris. © Photo E. Touchaleaume. Archives Galerie 54, Paris.
Fauteuils, modèle dit « Advocate or Press chair ». Le Corbusier et Pierre Jeanneret. (réf. LC-PJ-SI-41-A)
© Photo C. Baraja – E. Touchaleaume. Archives Galerie 54, Paris.
Fauteuils réformés, à noter les garnitures d’origine aux couleurs vives soigneusement choisies par Le Corbusier.
© Photo E. Touchaleaume. Archives Galerie 54, Paris.
Bureau, dit « Table des Ministres ». Modèle dessiné par Le Corbusier pour le Secrétariat dont quelques exemplaires ont également équipés la Haute Cour lors de la seconde tranche d’aménagement en 1960 et également l’Assemblée. (réf. LC-TAT-07-A).
© Photo C. Baraja – E. Touchaleaume. Archives Galerie 54, Paris.
© Photos Studio Indiano, Chandigarh. Archives Eric Touchaleaume, Paris.
Impluvium recueillant l’eau des chenaux. Outre leur aspect hautement esthétique et leur signification symbolique, les pyramidons ont pour fonction d’atténuer la véritable cascade qui se déverse de la toiture lors des pluies de mousson.
Rampe inclinée d’accès aux étages.
© Photos Studio Indiano, Chandigarh. Archives Eric Touchaleaume, Paris.
© Photos Lucien Hervé. Getty Fondation, Los Angeles.
Vue d’ensemble du Secrétariat. A noter, la tour de la rampe d’accès aux étages supérieurs, détachée du corps principal du bâtiment. Une rampe similaire orientée à l’opposé, déssert la façade arrière.
© Photos Studio Indiano, Chandigarh. Archives Eric Touchaleaume, Paris.
Giani Rattan Singh exécutant la maquette du Secrétariat.
© Photos Studio Indiano, Chandigarh. Archives Eric Touchaleaume, Paris.
Le Corbusier assisté de Giani Rattan Singh travaillant à la maquette en plâtre de la tour de l’Assemblée. Archives GRS/G54 vers 1955.
© Photos Studio Indiano, Chandigarh. Archives Eric Touchaleaume, Paris.
© Photos Lucien Hervé. Archives Fondation Le Corbusier.
© Photos Lucien Hervé. Archives Fondation Le Corbusier.
© Photos Studio Indiano, Chandigarh. Archives Eric Touchaleaume, Paris. © Photo E. Touchaleaume. Archives Galerie 54, Paris.
© Photos Studio Indiano, Chandigarh. Archives Eric Touchaleaume, Paris. © Archives Fondation Le Corbusier.
L’Assemblée en cours d’achèvement vers 1962.
© Photos Studio Indiano, Chandigarh. Archives Eric Touchaleaume, Paris.
In Chandigarh, he drafted a summary memo of these signs on an agenda, at the end of 1961-62. These signs are “sown” on the tapestries for the High Court, then on those of the Legislative Assembly as well as on the two sides of the ceremonial “Enamel Door” which he personally hand-painted for the Legislative Assembly.
Some of these signs, most of which can be found in his visual artwork, sprang from his imagination, sometimes years earlier, such as “Graminea” which appears for the first time on a board of the exhibition of the Pavillon des Temps Nouveaux (1937), the “Modulor” man (1943-1946) or again the “Open Hand” (1948).
The molds for the signs to be embedded in walls are embossed sculptures and/or hollow engravings in a board made of teak plywood or rarely, solid teak. They are attached before the concrete is poured, sometimes under the guidance of Le Corbusier himself, on the inner wall of the sheet* formwork used to pour the concrete for the walls. Once the formwork is removed, the recessed print appears on the raw concrete skin.
Le Corbusier was not a sculptor himself but used the services of a sculptor to translate his thought.
His sculpted work in India was produced “in tandem” with Giani Rattan Singh, and in France with the assistance of the Brittany-born carpenter Joseph Savina (1901-1983).
Giani Rattan Singh sculpted these casts based on the blueprints provided by the Le Corbusier studio in Paris, reproductions of life-size and completed drawings such as the “Zebu” or “City and wall» or enlargements of original sketches taken from his precious notebooks which he always kept with him.
During his stays in Chandigarh, Le Corbusier liked to work with the “Sik” (sic), as can be seen by the various photos.
The signs stamped on the walls referring to his personal cosmogony and Indian culture, the tapestries, the “Enamel Door”, the symbolic “follies” scattered over the Capitol piazza, constitute visual art creations designed to make the entire Capitol site a “complete artwork”
In his maturity, starting from the Cité Radieuse de Marseille, Le Corbusier designs his architecture more as a sculptor and painter than an architect.
© Photos Lucien Hervé. Archives Fondation Le Corbusier.
© Photos Lucien Hervé. Archives Fondation Le Corbusier.
Dessin original à l’encre de Le Corbusier, du signe « La Ville et l’enceinte ». Allusion à la ville de Bologne dont la célèbre tour penchée se profile à l’horizon. Le texte évoque « …un jeu d’enfant sur le sable de la mer… » et précise la taille « Dix mètres », du projet de relief définitif, dont l’ébauche est modelée sur le sable, pratique qu’il semble avoir expérimentée lors de ses séjours à Long Island (1950) dans la maison du sculpteur Nivola, ou il réalise un relief dans le sable dans lequel il coule du plâtre pour en tirer une sculpture. FLC
© Photos Studio Indiano, Chandigarh. Archives Eric Touchaleaume, Paris. © Archives Fondation Le Corbusier.